titre page 2.gif (8812 octets) ange.jpg (15518 octets)

 

De nos jours, la différence fait beaucoup parler les gens. Ceux-ci jugent les personnes au premier regard et se permettent de catégoriser ceux qui extériorisent leurs émotions et leurs goûts par les tatouages. La société rejette cette forme d’expression et ceux qui la pratiquent. Pourtant, cette façon de décorer le corps humain ne date pas d’hier. Autrefois, 2000 ans avant Jésus-Christ, les gens pensaient que le tatouage offrait une protection contre la malchance ou la maladie. Il servait aussi à identifier le statut, le rang ou l’appartenance à un groupe. Aujourd’hui, ceux qui sont tatoués sont qualifier de marginaux ou de "déchets de la société" si on peut le dire ainsi, tout dépendent du nombre de tatous que la personne a sur son corps. Pourtant, cette pratique est considérée comme un art pour celui qui le dessin et bizarre pour celui qui le porte. On ne devrait pas porter de jugements sur le tatouage. Partout sur la Terre, cet art est pratiqué et cela pour plusieurs raisons. Certains s’en servent par croyances religieuses et d’autres pour sa beauté et pour le simple plaisir de la chose. Les gens se font tatouer un peu partout sur le corps, à des endroits inimaginables. Les endroits les plus populaires sont sûrement la cheville, l’omoplate, les hanches et le dos. Il y en a qui se font tatouer pour eux-mêmes et les autres le font pour que tout le monde le voit. Pour ces derniers, ils se feront tatouer sur les bras, dans la figure et même sur le crâne. D’autres plus discrets, le font sur le lobe de l’oreille, dans le cou sous les cheveux, sur une fesse ou même sur le pubis. Cette pratique est vieille de 4 mille ans et pourtant, la société n’est toujours pas capable de comprendre et d’accepter cette forme d’expression.

 

retour.gif (2651 octets)

 

Copyright©2000.Julie Bisson. Tous droits réservés.
Révision : 2000-03-06